jeudi 2 avril 2009

Obsession parisienne

Quelques informations pour justifier la suite:
je suis une femme (c'est toujours bien de s'en rendre compte)
je suis parisienne (vous avez du vous en rendre compte)

Attention la suite est cruciale:
j'adore les belles fringues bien coupées dans de belles matières
je suis une fan de chaussures

Voilà une équation mode relativement simple à résoudre:

Femme+Paris+Veste ultra bien coupée+Robe design et féminine+sublimes chaussures épurées=
Les Prairies de Paris
Je vous donne un petit aperçu des pièces pour lesquelles j'ai craqué en 2 ou 3 ans (oui je sais c'est un peu extravagant tout ça!) et encore, ce n'est que la partie visible de l'iceberg:











Et voici maintenant la liste de ce que leaticia Ivanez (créatrice de la marque) va ajouter à mes placards cette saison (cette femme veut ma mort):

Ci contre le fabuleux sarouel en chiffon de soie noir, la ptite combi en coton tout frippé qui me fait penser aux sous-vêtements de cow boy avec des couleurs funky (j'avoue que je me jetterais plus facilement sur une noire)













Ensuite, les FAMEUSES vestes des prairies (pour les intimes): 
-la col smocking en soie et queue de pie qui va être la pièce fatale de ma garde robe pendant les 10 prochaines années

-la veste en coton masculine mais pas trop que je me prendrais plutôt en kaki que bleu blanc rouge (quoique...)

Et puis sans doute la ceinture tressée que j'ai vu en boutique en camel et noir, un petit T-shirt Polly Magot dans une couleur très estivale, une pochette en forme d'enveloppe absolument sublime, la robe bustier en noir pour mes petits mariages de cet été, une autre robe en mousseline de soie noire repérée au salon l'année dernière, la paire de nu-pieds avec les lanières en zèbre et et et...


Bon sang, je suis cuite, j'ai envie de tout acheter...

2 commentaires:

  1. mdr , beh achète tout alors !!!! moi j'ai un faible pour la veste masculine ...je piquais des trucs à mon père quand j'étais ado ..mais j'y aller trois fois dedans , hihi !!!

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  2. oui, je m'emballe un peu mais bon, quand j'aime je ne compte pas (au grand désarroi de mon banquier!

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